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| À l'approche de Madrid, les environs affichent une terre brune |
Pas besoin d'être doué en langues, les logiciels et livres de traduction existent pour nous faciliter la tâche. Par contre, si parler espagnol nous fait bafouiller, l'anglais reste la 2ème option. Le chauffeur roumain, la serveuse du resto et l'épicier coréen avec qui nous avons échangé ont écarquillé leurs yeux en entendant notre français. Autrement, il n'y a pas de seconde option là où nous étions aujourd'hui et c'est nous qui avions les yeux tout écarquillés sans notre livre de traduction oublié à la maison. Le premier menu était en espagnol uniquement. Mis à part que nous arrivions à reconnaître s'il y avait de la viande ou du poisson, la composition du plat nous échappait complètement. Pour l'eau, le vin ou la bière, pas de problème.
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